Rétorquait ma soeur, Abby Leiyn Bilson. Je lui répondais toujours un non pathétique. C'est pas possible, cette fille est à fond dans la passion et n'arrête pas de parler d'équitation. Moi je n'ai pas envie d'en faire. Pour moi, c'est une corvée de s'occuper d'un cheval toute la journée, mais ça leur plaît, tant mieux; mais une chose est sûre, je ne serais jamais une mordue comme ma soeur. Moi, j'aime me balader en ville, et oui, des fois, je vais lui rendre visite. Mais son cheval me fout grave les jetons. Bref, ma vie se résume a être dehors ou dans l'appartement que je partage avec ma soeur. N'empêche, je vais souvent au club voir si des beaux garçons y traînent, on ne sait jamais ...

« Putain, lâche moi maintenant Lauren ! »

Cette nana m'exaspérait. D'abord, elle sort avec moi, on est fout amoureux, et ce casse je ne sais ou pendant plus d'un an. C'est après qu'elle réapparait. Désolé mais, entre temps, j'ai trouvé mieux; Notamment une Cavalière, Abby leiyn Summer Bilson; et Lauren ose revenir et me disputer, dire que c'est ma faute. et j'ai intérêt à protéger ma moitié, sinon lauren peut remettre la Faute à Abby...

Mes fesses oui ! A peine j’avais posé un pied sur la terre du centre équestre que je regrettais déjà d’être venue au monde avec des parents cavaliers ! La barbe quoi ! Moi, je ne pouvais pas voir un cheval, de loin ou de près. C’est totalement répugnant. Beuuurk ! C’est sale, ça pue et en plus, ça n’a aucune utilité ! Mais avec mes supers parents cavaliers, je n’avais pas le choix. Moi, je préférais de loin faire les boutiques et dépenser mon argent dans des fringues et des fringues et encore des fringues. Aller au cinéma, traîner avec mes potes. Mais me voilà arrivée au centre équestre de l’Aubépine avec mes hauts talons, mon mini short et mon débardeur. J’avais quatre valises et encore, j’aurais pu en avoir plus si mes parents ne m’avaient pas demandé de prendre le strict minimum. Une chose est sûre, je ne poserais jamais mes fesses sur ses abjectes bêtes ! .

Je n'en croyais pas mes yeux. Moi, qui étais partie pour Lyon pendant un sacré bout de temps, je reviens et vois mon petit ami dans les bras d'une cavalière ? C'en était trop et il veut en plus me lâcher et me porter tout les torts. J'aurais pas dû partir. Oui bon certes j'étais partie, Mais Tyler n'avais pas le droit de prendre une autre femme. Je me retrouve toute seule ...Cette sale peste d'Abby va s'en mordre les doigts de m'avoir connu et d'avoir exploiter mon petit copain ! Je vous le jure !

Hurlais-je sur la tombe à ma mère. Ma mère... Ma douce mère que j'ai perdu dans un accident de voiture. Pourquoi je hurlais ? Toute ma descendance était basée sur l'équitation. Et bien sûr, j'étais le seul cancre qui ne voulais pas en faire parti. Je, je n'apprécie pas ce loisir, ce sport ... J'aurais voulu faire plaisir à ma mère, mais je veux choisir mon destin. Quand à mon père, qui est encore vivant et habite pas si loin d'ici, fait tout pour que j'aille faire de l'équitation. Mais bien sûr, moi j'ai pas envie d'en faire, je veux juste être quelqu'un de normal qui n'a rien à voir avec ce monde là ...

Me criaient en coeur mes amis Aspen, Sephora, William et Gabriel. Tous les cinq, nous avons débarqué à l'Aubépine ensembles en provenance d'Ibiza, la célèbre île où rien n'est interdit, aucune règle ne nous empêche de faire quoi que se soit. Et je ne m'en suis jamais privé. Toujours à courir après les filles, dès qu'une de ces charmantes demoiselles passe devant moi, je ne peux m'empêcher de lui faire des avances. Toujours à se déchirer, à faire la fête, à délirer avec ma vieille bande de potes d'Ibiza; la vie là-bas est mieux que le paradis. Mais aujourd'hui, nous voilà en France; ou du moins Sephora, Aspen et William pour intégrer l'Aubépine, Gabriel et moi ne faisons que les suivrent pour rester ensembles : à nous, l'équitation, c'est pas vraiment notre truc, même si on aime bien regarder nos potes monter.
Noir; Pour jouer ce personnage, nous vous demandons un très bon niveau de rp sachant répondre à des posts de 15 lignes.

Des paroles qu’on ne cessait de lui répéter. Sky n’avait pas d’attache. Ile ne restait jamais bien longtemps dans la même ville, il avait besoin de bouger, de découvrir le monde. Et c’était pareille avec les filles, il change chaque soir et le matin il a déjà oublier leurs noms, il s’interdit de ressentir des sentiments. Parce que s’il leur laisse ne serait ce qu’une petite place il pourrait avoir une raison de rester, et ça c’était hors de question. En l’espace de deux ans Sky avait déjà parcouru tout l’Europe en stop, dormant chez des inconnus. Ca lui avait permit de découvrir des culture, des langues, des traditions. Cette expérien l’avait énormément enréchie. Pourtant il y avait un hic, un petit rien qu’y lui manquait, mais il s’itnerdisait d’y penser. Oui ce qui lui manquait c’était un joli petit foyer avec une famille qui l’attende. Hélas Sky n’avait jamais vraiment eut de famille. Ses parents c’était tué dans un accident de voiture et lui il avait vécu jusqu'à ces 18 ans dans un orphelinat. Etrangement au final il avait peur de savoir ce que c’était que d’aimer et d’être aimé. Il était peut être même enfaîte parti pour ne pas savoir ce que c’était. Mais voilà à 20 ans il se voit obliger de se fixer, de trouver un emploie parce qu’il est complètement fauché. Va-t-il réussir à s’intégré après avoir vécu comme cela pendant deux ans ? Va-t-il éprouvé des sentiments ? Seul l’avenir nous le dira.